la vie sans oubli presente pour le tloukal

septembre 29th, 2012

bruno festi sont fils accompagnan de fabienne piel

changer le regard au maroc aussi

septembre 29th, 2012

100 personne a gravir le sommet pour alzheimer

« Toubk-al-zheimer… une ascension contre l’oubli »
L’Association Marocaine d’Alzheimer et des Maladies Apparentées, (l’AMAMA) soutenue par l’ADI (Alzheimer’s Disease International) célèbre la journée mondiale de lutte contre la maladie d’Alzheimer, le 21-22 et 23 septembre 2012. Des participants venant du Maroc et de l’étranger, affronteront le toit de l’Afrique du Nord, une ascension de 4167 mètres qui s’achèvera avec un spectaculaire lâcher de ballons, avec des messages écrits par les malades d’Alzheimer et leurs aidants familiaux.
« Toubk-al-zheimer », un défi sportif, symbolisant le dépassement de ses limites, allant jusqu’à l’épuisement physique et morale,du malade et de son accompagnants face a la maladie .

Pour la première fois au Maroc, familles, médecins, artistes, sportifs et bénévoles, se donneront rendez-vous pour être, durant un week-end le porte-parole du quotidien d’aidants familiaux, et sortir la maladie d’Alzheimer de la case de l’oubli.
Parrainée par Fabienne Piel, atteinte d’Alzheimer depuis l’âge de 37 ans, auteur du livre « J’ai peur d’oublier » chez michel lafon vice presidente de » la vie sans oubli », ainsi que Meriam Borja, première femme marocaine à se lancer dans le challenge des sept sommets , «Toubk-al-zheimer» se veut être un Rendez-annuel, qui combine entre le défi sportif et le combat contre l’oubli, deux objectifs incarnés par ces deux grandes femmes

marche solidére pour les journéé mondiale alzheimer

septembre 29th, 2012

les malades et les accompagnan ensemble pour la marche

gala ifrade les malades representé

septembre 29th, 2012

la fondation organise chaque annee un gala pour recolter des fond pour la recherche la vie sans oubli ce doit etre presente photo de fabienne piel vice presidente accompagner de clementine celarier ,alain delon ,et nolwen et son accompagnan criss

recherche alzheimer journee mondiale

septembre 29th, 2012

la fondation organise chaque annee un gala pour recolter des fond pour la recherche la vie sans oubli ce doit etre presente photo de fabienne piel vice presidente accompagner de clementine celarier ,alain delon ,et nolwen et son accompagnan criss

defile jeune createur hotel de ville de paris 18 avril2012

avril 14th, 2012

Un défilé de mode est organisé par l’association Escem’Ode le Mercredi 18 avril 2012 à partir de 17h00 à la salle d’honneur de la mairie de Paris.

L’équipe Escem’Ode souhaite à travers cet événement soutenir l’association “La Vie Sans Oubli”, qui vient en aide aux malades d’Alzheimer. Ainsi, l’entrée du défilé est gratuite mais nous vous serions reconnaissants de faire un don à cette association pour leur venir en aide dans leurs projets.

De jeunes créateurs, d’écoles de mode parisiennes exposeront leurs créations.

Trois thèmes de création leur ont été proposés :“* Les Vêtements Oubliés (en lien avec la maladie d’Alzheimer),

* La mode éthique (car les étudiants de l’Escem s’engagent pour le développement durable)

* L’imagination créatrice (les créateurs vont vous surprendre

un coloque sur la maladie alzheimer  avec de nombreux intervenant le matin de 9h30 a 12h a hotel de ville

autre lien de la vie sans oubli

avril 11th, 2012

diffilculter parfois a gerer le blog plus facile pour moi fabienne piel sur mon blog perso donc allez voir les info de l’association http://fripounette84500.skyrock.com/

Colloque « Maladie d’Alzheimer, éthique, droit et citoyenneté »

octobre 5th, 2011

Organisé en partenariat avec l’Espace éthique Alzheimer, l’Espace éthique méditerranéen de l’AP-HM, la Fondation Médéric Alzheimer, l’Agence régionale de santé (ARS) PACA et l’Union régionale des associations familiales (URAF) PACA, ce colloque se déroulera le vendredi 18 novembre 2011 à Sciences Po – Aix en Provence

Il permettra une rencontre entre professionnels et responsables du secteur médico-social, acteurs associatifs et politiques impliqués dans la maladie d’Alzheimer, personnes touchées par la maladie et leurs aidants. Ce colloque a pour objectif de mieux comprendre les choix opérés par ou pour les personnes malades, d’identifier les problématiques éthiques soulevées par cette maladie, repérer les responsabilités des uns et des autres et les difficultés dans la prise de décision concernant celui qui ne peut plus exprimer ses choix.

La participation au colloque est soumise à une inscription préalable avant le 16 novembre 2011.

Programme et inscription 

http://www.espace-ethique-alzheimer.org/bibliotheque_rte/pdf/octobre2011/Programme_18_nov_2011.pdf

 

septembre 24th, 2011

journee mondiale alzheimer

interview reseau alzheimer

septembre 18th, 2011

telefilm france 2

Le film est la suite du livre et je le vois plus comme une nouvelle sensibilisation du public, qui ne soit pas automatiquement pessimiste », souligne Fabienne Piel qui a accepté de répondre à quelques questions. A propos du film « J’ai peur d’oublier », du même nom que le livre qu’elle a écrit, qui lui a donné naissance ; mais pas seulement.

Réseau Alzheimer : Que pensez-vous du film* réalisé à partir de votre livre ?
Êtes-vous heureuse du rendu final?

FB: Le film reste une fiction, un personnage est rajouté. Par rapport au livre, il reprend tout ce qui flash back, et la principale donnée, c’est-à-dire les émotions que l’ont peut ressentir, a été bien rendue. Mais je ne peux pas raconter le film.
Il reste de toute façon un film, et n’est pas un produit qui va retracer la maladie. Ce n’était pas le but. On n’a pas voulu montrer les échecs. Il évite de tomber dans le voyeurisme pur et fort de la maladie.
Le film est la suite du livre et je le vois plus comme une nouvelle sensibilisation du public, qui ne soit pas automatiquement pessimiste.

RA : Vous avez rencontré l’actrice Clémentine Célarié ?

FB : En ce moment on passe un peu de temps ensemble. Déjà du fait des interviews. Clémentine est quelqu’un de très approchable, pas du tout une actrice telle qu’on pourrait l’imaginer. Elle a pris le rôle très à cœur car elle se retrouve un peu dans la femme que je suis. Elle est devenue d’ailleurs marraine de mon association, pas du tout par obligation. Je voulais que ce soit quelque chose qui la prenne, qui ait un sens pour elle. Elle a accepté, en plus elle se mobilise, mardi à Aix par exemple on était ensemble pour la signature de la charte éthique Alheimer.

RA : Va-t-on vous retrouver à l’occasion de la Journée Mondiale ?

FB : Je n’ai accepté à l’avance aucune invitation à l’occasion de cette Journée, en raison de la sortie du film. Je suis allée au Colloque éthique mardi, et je serai à celui de novembre. Je participerai à la Journée Mondiale de mon département. Je suis par ailleurs marraine d’un bistrot mémoire à Douardenez et j’ai aussi mon association ; ça fait beaucoup et il ne faut pas trop se disperser, je vais me calmer.

RA : Est-ce qu’il existe des structures d’accueil temporaires, pour des activités de quelques heures par exemple, spécifiques pour les malades jeunes de moins de 60 ans ?

FB : Je ne pense pas qu’il y en ait, d’une part les malades sont très espacés sur le territoire français, d’autre part les malades jeunes ne souhaitent pas forcément des structures. Beaucoup ont davantage envie d’une vie en société proche de chez eux.
J’ai rencontré des malades qui ont essayé par exemple des ateliers mémoire ; certains ne continuent pas, cela plait à quelques uns.
Il faudrait se mobiliser davantage pour la prise en charge au domicile.
Et il ne faut pas parler de malades jeunes, ce n’est pas le problème du tout. Maintenant le diagnostic est plus précoce, on peut avoir 10 voire même 20 ans à vivre avec la maladie, et il va falloir moduler avec elle.
Je dirais donc « malade en début de maladie » et non pas « malade jeune ». Il peut y avoir aussi bien des personnes de 60-65 ans que des plus jeunes.

RA : Quels sont vos souhaits ?

FB : Malgré la mobilisation de quelques malades qui ont parlé sans tabou, et même si on parle beaucoup de la maladie, celle-ci reste tabou. On a peur du cancer mais il n’est plus tabou, tandis que la maladie d’Alzheimer, on en a peur et elle reste tabou.
Je souhaite que ce tabou tombe.

J’encourage aussi les malades à être actifs, ce qui inclut de l’être au niveau des émotions et de la vie commune. Il faut continuer à faire des projets et ne pas s’enfermer.
C’est de cette façon qu’ils se battront.

Photographie et témoignage : nos remerciements à Fabienne Piel

*Pour rappel : Inédit, J’ai peur d’oublier, fiction diffusée sur France 2 le mercredi 21 septembre à 20h35, avec Clémentine Célarié. Réalisatrice Elisabeth Rappeneau.
Propos recueillis par Dominique Monnier le 14 septembre 2011